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Comment favoriser l’inclusion LGBTQIA2+ dans notre milieu de travail ?

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Gestion

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Quelles méthodes pouvons-nous utiliser pour que notre entreprise adopte des valeurs d’inclusion de la diversité sexuelle et de genre ? Et comment les appliquer, afin d’assurer le bien-être de tous nos employés ou collègues ?


En cette Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, nous vous proposons cinq solutions pour rendre votre milieu de travail plus inclusif et accueillant.


Selon un sondage réalisé par CROP et la Fondation Jasmin Roy en 2017, on considère en effet que 13% de la population canadienne s’identifie aux diverses identités sexuelles et/ou de genre marginalisées, ce qui n’est pas anodin. Et ce même pourcentage se reflète peut-être dans notre clientèle ou notre personnel. Or, une personne employée se montre plus productive si elle peut être elle-même. Donc, encourager l’inclusion dans notre milieu de travail, tout le monde y gagne !

1. Considérer l’impact de l’hétéronormativité

Nos institutions et les discours sociétaux sont teintés de l’hétéronormativité ambiante. Afin de nous assurer que notre entreprise ne participe pas au maintien de ces normes, il faut par conséquent tenter de réduire les situations où certains employés pourraient se sentir marginalisés. Par exemple, on peut adapter son discours en mentionnant le mot « partenaire », au lieu de systématiquement déduire le genre de l’amoureux de notre collègue en utilisant les mots conjoint ou conjointe.

2. Avoir des politiques d’entreprise inclusives

En stipulant formellement notre engagement envers l’inclusion LGBTQIA2+ sur nos documents et nos outils de communication officiels, nous montrons notre compréhension des différentes réalités et mettons en confiance nos employés issus des minorités sexuelles et/ou de genre. Ce geste permet aussi aux autres personnes de notre entreprise de comprendre notre tolérance zéro envers toute manifestation de LGBT-phobie ; et du même coup prévenir certaines formes de violence ou de harcèlement en milieu de travail.

3. Normaliser le fait de demander les pronoms

Cette pratique empêche de genrer le personnel, ce qui est une forme de micro-agression, et de montrer l’ouverture de notre entreprise aux diverses identités de genre. De manière concrète, on peut notamment automatiser le fait d’inclure son pronom dans sa signature de courriel, ou bien intégrer une section « pronoms » sur les documents d’embauche de l’en

La suite est réservée aux employeurs.

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